J’ai décidé de participer à un nouveau rendez-vous autour du livre : le Throwback Thursday Livresque. Imaginé par Bettie Rose Books, le principe est de partager chaque semaine sa lecture autour d’un thème mensuel qui sera décliné chaque semaine. Depuis peu, les liens de participation sont à déposer sur My-books.
Pour le thème de la semaine, famille nombreuse, un titre s’est tout de suite imposé à moi : Treize à la douzaine de Frank Gilbreth et Ernestine Gilbreth. Mes souvenirs sont dorénavant flous, mais ce roman fait partie de ceux que j’ai le plus (re)lus au CM2 durant la demi-heure de lecture imposée (et fortement appréciée de ma part).
J’ai décidé de participer à un nouveau rendez-vous autour du livre : le Throwback Thursday Livresque. Imaginé par Bettie Rose Books, le principe est de partager chaque semaine sa lecture autour d’un thème mensuel qui sera décliné chaque semaine. Depuis peu, les liens de participation sont à déposer sur My-books.
Si je ne lis plus beaucoup de classique, plus jeune, je les dévorais. Je garde d’ailleurs des souvenirs forts de romans comme Au bonheur des dames d’Émile Zola ou encore, Don Quichotte de Miguel de Cervantès.
J’ai décidé de participer à un nouveau rendez-vous autour du livre : le Throwback Thursday Livresque. Imaginé par Bettie Rose Books, le principe est de partager chaque semaine sa lecture autour d’un thème mensuel qui sera décliné chaque semaine. Depuis peu, les liens de participation sont à déposer sur My-books.
Quand on aime les livres, le thème de la semaine, un livre à offrir, est une aubaine et une malédiction à la fois tellement il est difficile de ne choisir qu’un livre à offrir parmi toutes les merveilles qui existent !
J’ai décidé de participer à un nouveau rendez-vous autour du livre : le Throwback Thursday Livresque. Imaginé par Bettie Rose Books, le principe est de partager chaque semaine sa lecture autour d’un thème mensuel qui sera décliné chaque semaine. Depuis peu, les liens de participation sont à déposer sur My-books.
Lorsque Monsieur Bingley, jeune homme riche et célibataire vient s’installer à Netherfield accompagné de son ami Monsieur Darcy, c’est Madame Bennet et ses cinq filles à marier les premières averties ! Car chacun sait qu’un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier ! Découvrez cette superbe adaptation en manga du mondialement connu chef-d’œuvre de Jane Austen. Tout l’humour et le romantisme de l’original y sont parfaitement éclairés par un dessin riche et somptueux
Soleil (23/11/2016 ) – Scénariste : King Stacy – Illustrateur : PoTse – 368 p.
J’ai décidé de participer à un nouveau rendez-vous autour du livre : le Throwback Thursday Livresque. Imaginé par Bettie Rose Books, le principe est de partager chaque semaine sa lecture autour d’un thème mensuel qui sera décliné chaque semaine. Depuis peu, les liens de participation sont à déposer sur My-books.
Lisant peu de romance, j’ai tout de suite pensé à Orgueil et préjugés, mais vous ayant déjà parlé à maintes reprises de ce roman, j’ai préféré me tourner vers son adaptation graphique.
« Lorsque Monsieur Bingley, jeune homme riche et célibataire, vient s’installer à Netherfield accompagné de son ami Monsieur Darcy, c’est Madame Bennet et ses cinq filles à marier les premières averties ! Car chacun sait qu’un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier. Découvrez cette superbe adaptation en manga du chef-d’œuvre mondialement connu de Jane Austen. Tout l’humour et le romantisme de l’original y sont parfaitement éclairés par un dessin riche et somptueux. »
POURQUOI CE CHOIX ?
La chronique de ce livre est dans mes brouillons depuis des mois non pas par censure, mais parce que j’ai toujours un avis plus urgent à publier. Ne désirant pas me répéter, je dirai juste que j’ai apprécié ce manga et notamment ses très belles illustrations. J’ai, néanmoins, regretté que toute la critique sociétale sous-jacente si bien développée par Jane Austen a quelque peu été occultée au profit exclusif de la romance.
Cette adaptation graphique plaira donc aux lecteurs qui ont envie de découvrir ou redécouvrir l’œuvre originale sous le seul prisme de l’histoire d’amour entre les charismatiques Elizabeth Bennet et Mr Darcy, un couple qui a une place particulière dans mon cœur.
Et vous, avez-vous lu cette adaptation ? Qu’en avez-vous pensé ?
J’ai décidé de participer à un nouveau rendez-vous autour du livre : le Throwback Thursday Livresque. Organisé par Bettie Rose Books, le principe est de partager chaque semaine sa lecture autour d’un thème qu’elle aura au préalable défini.
Thème de la semaine : Mix and Match
Bettie nous propose pour ce premier TTL d’avril un thème très original puisqu’il nous faut faire rencontrer deux personnages appartenant à deux livres différents. Dès la lecture du thème, j’ai su quels personnages j’aurais adoré voir entamer une discussion : Elizabeth Bennet d’Orgueil et préjugés de Jane Austen et notre inimitable Sherlock Holmes de l’œuvre de Sir Arthur Conan Doyle.
Deux fortes têtes dont la rencontre n’aurait pas manqué de faire des étincelles ! Intelligente et caustique, notre Lizzie aurait peut-être pu améliorer l’image que se fait Sherlock des femmes… Grâce à son sens de l’observation, j’image également très bien cette femme devenir l’apprenti de notre détective préféré. Imaginez, si en plus de sa compréhension de la nature humaine, Lizzi acquérait des compétences de détective, elle serait définitivement une héroïne badass.
Je ne l’ai pas vu et il n’est pas question de Sherlock Holmes, mais dans cette même idée d’ajouter un côté enquête au roman de Jane Austen, Pemberley attise ma curiosité même si la mention, sous la bande-annonce, que ce film serait une suite d’Orgueil et préjugés me hérisse le poil…
J’ai décidé de participer à un nouveau rendez-vous autour du livre : le Throwback Thursday Livresque. Organisé par Bettie Rose Books, le principe est de partager chaque semaine sa lecture autour d’un thème qu’elle aura au préalable défini.
Thème de la semaine: Une histoire d’amour, a-t-on jamais assez d’amour ? (Hétéro, LGBT+, ouverture d’esprit au maximum)
Je lis très peu de romances, car je trouve que les schémas narratifs sont sensiblement souvent les mêmes et les histoires trop peu crédibles ou trop guimauves pour moi. Cependant, il y a des auteurs comme Stéphane Soutoul qui arrivent à me faire apprécier leurs romances. Mais quand je pense romance, un titre et une auteure me viennent d’abord et systématiquement en tête : Jane Austen et son très célèbre roman Orgueil et préjugés.
Mme Bennet a cinq filles et compte bien les marier toutes, ce qui n’est pas une tâche facile dans l’Angleterre du début du XIXe siècle. Non que les demoiselles Bennett soient laides, mais elles n’ont pas de fortune. Et cinq maris riches, ce n’est pas si facile à trouver. Surtout quand les filles en questions s’en mêlent; elles qui ont des préjugés, éprouvent des sentiments, et n’agissent pas forcément toujours pour trouver « un bon parti ».
Pourquoi ce choix ? J’ai choisi ce roman, car Jane Austen prouve que romance ne signifie pas automatiquement bleuette insignifiante et qu’au contraire, une histoire d’amour bien écrite peut être le terreau d’une critique acerbe, impertinente et fine de la société dans laquelle on évolue. J’ai ainsi tout aimé dans ce livre : la plume de l’auteure, son humour, sa capacité d’analyse, ses critiques de la société anglaise de son époque, le mythique couple Elizabeth/Darcy, leurs échanges, la construction de leurs sentiments, la psychologie des personnages… En d’autres termes, si je ne devais retenir qu’une romance ce serait sans aucun doute Orgueil et préjugés !
Pour qui ? Pour tout le monde, des amateurs de romance en passant par ceux aiment les lectures apportant un éclairage sur le contexte historique dans lequel à vécu son auteur.
Quand ? En hiver, au coin du feu avec un chocolat chaud.
Le roman a été adapté au moins deux fois : en 1995 par la BBC et une deuxième fois en 2005 avec Keira Knightley dans le rôle principal. Ayant vu les deux versions, je dois avouer une nette préférence pour la mini-série de la BBC, mais il se peut que cela s’explique par le fait que j’ai d’abord commencé par cette adaptation et que les minauderies de Keira Knightley tendent à m’exaspérer.
Et vous, avez-vous lu ce roman ? Qu’en avez-vous pensé ?
Demain, quand j’étais mort! m’a donné envie de donner sa chance à un autre ouvrage humoristique avec des zombies. Mon choix s’est donc porté sur Orgueil et Préjugés et Zombies de Seth Grahame-Smith.
PRÉSENTATION ÉDITEUR
Pour la famille Bennet, qui compte cinq filles à marier, l’arrivée de deux jeunes et riches célibataires dans le voisinage est une aubaine: enfin, des cœurs à prendre, et des bras supplémentaires pour repousser les zombies qui prolifèrent dans la région ! Mais le sombre Mr Darcy saura-t-il vaincre le mépris d’Elizabeth, et son ardeur au combat ? Les innommables auront-ils raison de l’entraînement des demoiselles Bennet? Les sœurs de Mr Bingley parviendront-elles à le dissuader de déclarer ses sentiments à Jane? Surtout, le chef-d’œuvre de Jane Austen peut-il survivre à une attaque de morts-vivants ?
Poche: 352 pages
Editeur : Pocket (9 janvier 2014)
Prix : 7,80€
Autre format : ebook
AVIS
Comme le titre l’indique, Orgueil, préjugés et zombies est un hommage et/ou une parodie du célèbre roman Orgeuil et Préjugés de Jane Austen.
J’ai lu le roman de Jane Austen il y a plus d’une dizaine d’années et ai vu les deux adaptations cinématographiques. Je peux donc dire que c’est une histoire qui me plaît et que j’avais hâte de découvrir la version de Seth Grahame-Smith.
Ici, l’auteur respecte parfaitement la trame de fond, nous retrouvons donc les différents personnages du roman, le contexte historique, les principaux événements qui marquent la vie de la famille Bennet… Elizabeth vous plaira donc toujours autant par sa force de caractère et son impertinence et M. Darcy devrait continuer à faire battre le cœur des plus romantiques d’entre nous.
Mais ce que j’ai préféré, c’est la capacité de l’auteur à s’approprier le style si particulier de Jane Austen et sa manière de tourner en dérision les codes de la société anglaise de son époque. On retrouve parfaitement dans le roman, cette obsession du statut social, de l’argent et la question de la place de la femme mis en avant dans l’œuvre originale. Je ne dirais pas que l’élève a dépassé le maître, mais force est de constater que sa copie est plus qu’honorable.
L’auteur ne s’est pas contenté d’un simple copier-coller ; il a apporté un nouveau dynamisme au récit grâce à la présence de zombies. En plus d’être originale, cette idée a le mérite de démontrer un certain culot de sa part. En touchant au chef-d’œuvre de Jane Austen, il a pris le risque de s’attirer les foudres des puristes…
Pour ma part, j’ai trouvé l’idée d’introduire ces viles créatures dans la vie des sœurs Bennet plutôt intéressante. D’un caractère farouche, être tueuse de zombies semble d’ailleurs plutôt bien convenir à Elizabeth qui prend sa tâche très au sérieux. Et c’est là que le côté parodique prend tout son sens. L’auteur finit ainsi par tourner en dérision la personnalité de notre héroïne dont le sens de l’honneur extrême la pousse même à s’auto-mutiler ou à vouloir égorger notre cher M. Darcy… Vous aurez compris qu’il faut lire l’histoire au second degré pour pouvoir l’apprécier.
Quant au côté zombie, j’ai regretté qu’il soit finalement peu exploité du moins au niveau « visuel ». Les zombies ne m’ont pas semblé être une réelle menace puisque les affrontements avec ces derniers sont très vite expédiés. N’espérez donc pas de grandes scènes de bataille ou des situations angoissantes mettant véritablement en danger nos protagonistes.
Enfin, deux points m’ont chagrinée dans le roman. Tout d’abord le fait que le dernier tiers du livre perd de son panache. L’auteur s’éloigne peu à peu du style de Jane Austen pour tomber dans la romance classique avec ses tergiversations agaçantes. Dommage, car du coup, le charme n’opère plus. Et le point qui m’a fait vraiment agacée est la fin ! Avoir appris toute sa vie à combattre pour ça… Mais, j’aime à croire que c’est une manière pour l’auteur de nous offrir une dernière critique de la société anglaise de l’époque à moins que ce ne soit là que la représentation d’un déprimant déterminisme.
En conclusion, je vous conseille de dévorer l’œuvre originale avant de vous jeter sur ce roman. Dans le cas contraire, je pense que vous passerez quand même un bon moment de lecture, mais vous vous priveriez de tout ce qui fait vraiment le charme du roman : les multiples références à l’œuvre de Jane Austen.
POUR ALLER PLUS LOIN: il existe une version cinématographique du roman que je n’ai pas encore vue.