Le mystère Henri Pick, David Foenkinos

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J’ai lu Le mystère Henri Pick de David Foenkinos dans le cadre du challenge objectif du mois dont le thème de septembre est Lire un livre sorti cette année. Ayant été très intriguée par le résumé du livre, mon choix s’est vite opéré d’autant que je n’avais encore rien lu de l’auteur.

PRÉSENTATION ÉDITEUR

En Bretagne, un bibliothécaire décide de recueillir tous les livres refusés par les éditeurs. Ainsi, il reçoit toutes sortes de manuscrits. Parmi ceux-ci, une jeune éditrice découvre ce qu’elle estime être un chef-d’œuvre, écrit par un certain Henri Pick. Elle part à la recherche de l’écrivain et apprend qu’il est mort deux ans auparavant. Selon sa veuve, il n’a jamais lu un livre ni écrit autre chose que des listes de courses… Aurait-il eu une vie secrète? Auréolé de ce mystère, le livre de Pick va devenir un grand succès et aura des conséquences étonnantes sur le monde littéraire. Il va également changer le destin de nombreuses personnes, notamment celui de Jean-Michel Rouche, un journaliste obstiné qui doute de la version officielle. Et si toute cette publication n’était qu’une machination? Récit d’une enquête littéraire pleine de suspense, cette comédie pétillante offre aussi la preuve qu’un roman peut bouleverser l’existence de ses lecteurs.

  • Broché: 288 pages
  • Editeur : Gallimard (1 avril 2016)
  • Prix : 19,50€
  • Autres formats : ebook, audiobook

AVIS

Le livre nous permet de suivre la vie de plusieurs personnages : Delphine, la jeune éditrice ambitieuse et son compagnon, écrivain qui n’a pas encore rencontré son public, Madeleine la veuve de Henri Pick notre supposé écrivain et leur fille, Jean-Michel Rouche, un journaliste tombé de son piédestal, Magali bibliothécaire malgré elle. C’est donc une galerie de personnages tous très différents les uns des autres que le lecteur découvre. Certains se sont révélés plus attachants que d’autres mais je les ai tous appréciés.

Mon seul petit regret est que cette multitude de personnages ne permet pas d’avoir une connaissance approfondie de l’un en particulier, la vie de chacun n’étant que survolée. J’aurais, par exemple, apprécié d’en apprendre plus sur Gourvec, la personne à l’initiative de la bibliothèque des livres refusés. Mais l’auteur a préféré éviter les divagations et les longueurs en se concentrant uniquement sur les éléments de la vie des personnages qui apportent un éclairage à l’intrigue. J’ai également aimé découvrir comment, de manière plus ou moins grande, la vie de chacun s’est trouvée transformée voire chamboulée suite à la parution du livre de Henri Pick.

Très vite dans le livre, j’ai supputé que M.Pick n’était pas l’auteur du livre. Je n’ai cependant jamais partagé la théorie de M.Rouche quant à l’identité de l’auteur, celle-ci me paraissant bien trop simple. J’ai donc pris grand plaisir à tourner les pages, souvent avidement, afin de connaître le fin mot de l’histoire. Et je dois dire que la révélation finale, apportée par l’épilogue, m’a beaucoup surprise. En tout cas, elle s’est révélée à la hauteur de mes attentes et n’a fait que confirmer le plaisir que j’ai pris à parcourir le livre.

Enfin, j’ai aimé les références à certains auteurs et ouvrages que l’on peut découvrir tout au long du roman ainsi que les critiques formulées par l’auteur sur le monde de l’édition, sur les lecteurs avec la valorisation par certains de la forme sur le fond, sur les raisons parfois discutables du succès d’un livre et/ou d’un auteur, l’omniprésence du marketing…

NOTE : 4/5

En conclusion, du style de l’auteur au sujet abordé et à son originalité en passant par les personnages et le mystère qui plane autour du fameux livre d’Henri Pick, tout m’a plu dans ce roman de David Foenkinos. Il lui a toutefois manqué un petit quelque chose pour que ce soit un coup de cœur mais je ne peux que le conseiller à tous.

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La malédiction des Montfort, Teresa Medeiros

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La malédiction des Montfort est un roman que j’ai lu dans le cadre du challenge « objectif du mois ». L’objectif d’août était de lire un livre du genre que l’on apprécie le moins.

J’ai donc opté pour lire une romance bien que je pense détester encore plus les livres de type 50 nuances de gris. Mais je n’ai pas pu me résoudre à m’infliger pareille torture.

PRÉSENTATION ÉDITEUR

D’une extraordinaire beauté, lady Holly de Chastel ressent le désir qu’elle inspire aux hommes comme un véritable fardeau. Ses innombrables soupirants l’exaspèrent et elle écarte toute demande en mariage en prétendant être affligée de tares rédhibitoires. A bout de patience, son père se résout à organiser un tournoi, dont elle devra épouser le vainqueur. Holly ne peut que se plier à la volonté paternelle mais, le jour de la compétition, elle se présente sous un déguisement qui la rend hideuse. Pour sir Austyn de Montfort, qui défait tous ses rivaux, une femme trop belle est forcément fatale. Remporter la main d’un laideron ne le rebute pas. En outre, la dot énorme de son épouse va lui permettre de remédier au délabrement de son château du pays de Galles. Et puis, nul besoin d’une beauté pour assurer sa descendance ! Quoiqu’il serait plus agréable d’avoir dans son lit une beauté plutôt que cette horrible guenon.

  • Poche: 344 pages
  • Éditeur : J’ai lu (13 octobre 2008)
  • Prix : 6,80

AVIS

J’ai choisi cette romance en raison du titre et plus spécifiquement du terme « malédiction ». J’ai toujours aimé les histoires de magie, de sorcières et de malédiction. J’espérais donc que cet aspect du roman serait très important histoire de rendre la lecture pas trop pénible. Hélas, la malédiction est bien présente mais vous découvrirez qu’elle n’est pas forcément celle que l’on croit. Par conséquent, si comme moi vous espéreriez une bonne dose de magie et de fantastique, je vous conseille de passer votre tour.

En évoquant le Pays de Galles, le résumé m’avait laissé espérer de belles descriptions de paysages. J’avoue sur ce point une certaine naïveté de ma part, les romans d’amour n’étant pas forcément réputés pour leurs qualités littéraires. Pour ne pas être déçus, n’en espérez donc pas.

Les scènes de sexe ne sont heureusement pas trop présentes. C’est un bon point pour moi mais peut-être que pour les personnes intéressées par ce type d’ouvrage, ce n’en est pas un… J’ai par contre été agacée par la banalisation du viol et très sceptique face aux réactions de Lady Holly de Chastel vis-à-vis des maltraitances psychologiques et physiques de son époux.

J’ai toutefois été agréablement surprise par le style de l’auteur. La plume n’est pas magnifique mais l’écriture n’est pas lourde et le vocabulaire pas trop simpliste.

MA NOTE : 2,5/5

En résumé, je suis contente d’avoir su respecter l’objectif du mois. Il m’a permis d’une part, de confirmer mon manque d’appétence pour les romances pures tout en me permettant de venir à bout de certains de mes préjugés. Je m’étais en effet attendue à un style d’écriture épouvantable alors que, sans faire d’étincelles, la plume de l’auteure est tout à fait acceptable.

 

La librairie Tanabe, MIYABE Miyuki

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C’est avant tout le titre de l’ouvrage qui m’a interpellée étant dans une période où j’ai envie de lire des ouvrages liés, de près ou de loin, au monde des livres.

J’ai acheté La librairie Tanabe de Miyabe Miyuki, publié aux Editions Philippe Picquier, d’occasion car je souhaitais l’avoir en grand format qui ne me semble plus édité.

J’ai lu ce livre dans le cadre du challenge Vide ta PAL en été et du challenge Objectif du mois

PRESENTATION EDITEUR

Monsieur Iwa est libraire à Tôkyô. Dans la librairie Tanabe, avec l’aide de son petit-fils, féru de littérature, il vend des livres d’occasion. Mais, par l’intermédiaire de leurs clients, tous deux vont se trouver impliqués dans des histoires de meurtres ou de morts étranges. Une grande perspicacité et une clairvoyance certaine alliées à une solide culture leur permettront de jouer les détectives amateurs.

  • Broché: 187 pages
  • Editeur : Picquier (juin 1995)
  • Prix poche : 7,50€

AVIS

Le livre se compose de cinq nouvelles avec en toile de fond les livres et la librairie Tanabe. Les histoires sont bien sûr indépendantes les unes des autres mais elles ont en commun l’intervention, plus ou moins prononcée, de notre libraire et de son petit-fils des plus impertinents, ou comme M. Iwa l’appelle son « bon à rien de petit-fils unique« .

C’est d’ailleurs la relation entre ces deux personnages que j’ai préférée dans ce livre. Leurs échanges, emplis d’humour, témoignent de la grande complicité et de l’amour qui les unit. J’ai lu ce livre tranquillement assise sur un banc dans un jardin public et j’ai eu beaucoup de difficultés à cacher mes sourires en les lisant.

Les intrigues ne sont pas d’un suspens haletant et certains dénouements m’ont semblé un peu tiré par les cheveux ou trop simplistes. Mais j’ai quand même apprécié ces nouvelles qui abordent différents thèmes comme les traditions japonaises, les cérémonies funéraires, les conséquences de la Seconde Guerre Mondiale, les premiers émois amoureux…

J’ai en outre particulièrement apprécié la troisième nouvelle intitulée Le Clairon menteur dont le sujet central est la maltraitance infantile. J’avais anticipé très tôt le dénouement de l’histoire mais le personnage de l’enfant maltraité m’a beaucoup touchée tout comme son appel au secours à travers le vol d’un livre. Le traitement de l’histoire par l’auteure est assez japonais dans son fond et sa forme avec une certaine pudeur qui n’ôte rien à l’abomination de la situation.

Enfin, ma seule déception est le caractère au final assez secondaire des enquêtes surtout dans les deux premières nouvelles. Je m’étais attendue à un roman un peu plus typé policier. Ayant déjà eu le même genre de déception avec La vie contrariée de Louise, je crois que je vais un peu moins lire les quatrièmes de couverture qui ont tendance à trop guider mes attentes.

« Qu’est-ce que tu as, grand-père ? »

Ce dernier laisse échapper un grognement en guise de réponse.

« Un point te paraît douteux ? insista Minoru.

_ Tu parles comme un détective de roman policier ! dit son grand-père.

_Oui, peut-être. « 

NOTE : 3,5/5

En conclusion, La librairie Tanabe est un recueil de cinq nouvelles que je conseille à tous d’autant que le livre se lit très vite, soit d’une seule traite, soit nouvelle par nouvelle. Il devrait plaire aux personnes aimant les histoires ayant un lien avec les livres et/ou à ceux souhaitant une immersion dans la culture japonaise même si le livre commence à dater…

Je pense déjà découvrir d’autres livres de l’auteure dont Une carte pour l’enfer.

Photo du site Babelio

Photo du site Babelio

 

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Le Paris des Merveilles tome 3 : le royaume immobile

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Le royaume immobile est le troisième et dernier tome de la série Le Paris des Merveilles de Pierre Pevel sublimement réédité par Bragelonne.

J’ai lu cette trilogie dans le cadre du challenge L’objectif du mois de juin.

Vous pouvez retrouver mes chroniques du premier tome Les enchantements d’Ambremer et du deuxième tome, l’Elixir d’oubli.

PRÉSENTATION ÉDITEUR

Paris, au début du XXe  siècle.
La porte vers la capitale d’OutreMonde, Ambremer, amène bien des Merveilles au Paris du siècle passé : la tour Eiffel est bâtie d’un bois blanc qui chante à la Lune, sur les Champs-Élysées, le feuillage des arbres diffuse à la nuit une douce lumière mordorée, et les créatures féeriques vivent parmi les hommes.
Alors que tous ne songent qu’aux prochaines élections du Parlement des Fées, Griffont doit aider un ami soupçonné du meurtre d’un mage du Cercle Incarnat. De son côté, Isabel se trouve aux prises avec de dangereux anarchistes venus de l’OutreMonde et bien décidés à ensanglanter Paris pour se faire entendre. Mais bientôt Griffont et Isabel découvriront que ces deux affaires sont liées, et lèveront alors le voile sur un secret ancien susceptible d’ébranler le trône d’Ambremer.
Bienvenue dans le Paris des Merveilles.
  • Broché: 384 pages
  • Editeur : Bragelonne (20 mai 2015)
  • Collection : Steampunk
  • Prix : 17,90€

MON AVIS

Pas de surprise dans ce tome, tous les éléments qui m’ont fait apprécier les deux premiers tome sont présents dans celui-ci : plume très agréable de Pierre Pevel, personnages à la nature diverse et aux personnalités intéressantes, intrigues bien ficelées, mystères, magie… Je regrette seulement la présence trop discrète, à mon goût, du versatile Azincourt, le chat-ailé vivant avec Griffont.

Nous retrouvons nos deux personnages principaux, Griffont et Isabel, avec grand plaisir autant pour leurs échanges plein de punch que leur capacité commune à être impliqués dans des histoires souvent dangereuses et à chaque fois, pleines de rebondissements.

Avec ce tome, Pierre Pevel confirme son talent pour créer des intrigues captivantes qui vous donnent presque envie d’avoir les dons de Sherlock Holmes pour les décrypter au plus vite. Je n’ai pas lu ce tome aussi vite que le précédent, mais l’envie de tourner les pages était bien là ! J’ai également apprécié la manière dont l’auteur arrive à lier les différents événements entre eux sans que jamais le lecteur n’en saisisse les ficelles avant que celui-ci ne le décide.

Ce dernier tome se distingue néanmoins des deux premiers par son caractère plus sombre. Les précédents tomes possédaient leur propre dose de violence, mais avec Le Royaume Immobile, Pierre Pevel développe une atmosphère plus sombre où le danger et la mort ne cessent de planer au-dessus de nos personnages principaux.

Enfin, sous réserve d’un livre de fantasy, l’écrivain aborde des thèmes plus ancrés dans le réel comme les élections et hélas, les attentats. Ce point est d’autant plus marquant que l’action se passe dans la capitale…

MA NOTE : 4,25/5

CONCLUSION

J’ai beaucoup apprécié Le Royaume Immobile, troisième tome qui conclut la trilogie Le Paris des Merveilles. Pierre Pevel nous a offert un tome à la hauteur des deux autres en prenant cependant le parti de le rendre plus sombre. Cette évolution semble au final plutôt logique lorsque l’on considère la vie de nos deux héros.

La fin étant plutôt ouverte, j’ai l’espoir que l’écrivain décide de continuer sa série…

Le Paris des Merveilles, tome 2 : l’Elixir d’oubli

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Après la lecture du tome 1 de la Trilogie Le Paris des Merveilles, réédité aux Editions Bragelonne, j’ai enchaîné par la lecture du second tome : l’Élixir d’Oubli.

Pour rappel, j’ai lu cette trilogie dans le cadre du challenge l’Objectif du mois.

PRÉSENTATION ÉDITEUR

Paris, début du xxe  siècle.
Dans un Paris de la Belle Époque où se côtoient gnomes, dryades, chats-ailés et arbres enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, membre
reconnu d’un club de gentlemen magiciens, est sur une nouvelle affaire de meurtre. La victime est un antiquaire apparemment sans histoires, mais l’enquête du mage le conduit à un nom que beaucoup redoutent : Giacomo Nero. Cet ambitieux mage noir pourrait bien être mêlé à une intrigue trouvant ses origines à l’époque de la Régence. En ce temps-là, Griffont était le chevalier de Castelgriffe. Érudit désinvolte et mage libertin, il s’apprêtait à affronter une société secrète et, ce faisant, collaborait pour la première fois avec une certaine baronne de Saint-Gil. Cependant, révéler aujourd’hui les secrets du siècle passé pourrait bien éveiller un confit s’étendant jusqu’à l’OutreMonde…
Bienvenue dans le Paris des Merveilles.
  • Broché: 384 pages
  • Editeur : Bragelonne (20 mai 2015)
  • Collection : Steampunk
  • Prix : 17,90 €
  • Autre format : ebook

AVIS

Tout d’abord, je ne vais pas me répéter mais j’ai retrouvé, avec plaisir, tous les éléments qui m’avaient fait apprécier la lecture du premier tome : une sublime couverture réalisée par Xavier Collette, la plume élégante de l’auteur, les personnages, l’ambiance du livre, les magnifiques descriptions… Pour plus de détails, je vous invite à consulter ma chronique du premier tome : Les enchantements d’Ambremer.

Même si j’avais apprécié le premier tome, sans le challenge Objectif du mois, je ne pense pas que j’aurais enchaîné directement sur le deuxième. La raison en est simple : il manquait l’action et le suspens qui m’auraient poussée à vouloir retrouver avidement Griffont, Isabel et les autres. Et maintenant que la dernière page de l’Élixir oublié est tournée, je peux dire sans détour que cela aurait été dommage.

J’ai tout simplement adoré ce second tome. L’auteur a su introduire avec talent de l’action, du mystère, des intrigues imbriquées, des nouveaux personnages dont le très connu Merlin. Il a même joué avec les nerfs des lecteurs avec la survenue d’un événement inattendu dont je ne vous parlerai pas plus afin de vous en laisser le plaisir de la découverte. Vous comprendrez alors aisément que j’ai lu ce second tome beaucoup plus rapidement que le premier, pressée de connaître la suite des événements.

Pierre Pevel nous offre également une incursion dans le passé et plus précisément en 1720, année qui marqua la rencontre entre notre mage préféré et la baronne Isabel de Saint-Gil ou Aurélia, de son véritable nom. En plus d’en apprendre plus sur les débuts de ce couple atypique, le lecteur est plongé dans une enquête qui apportera également des éléments de réponse pour l’intrigue se déroulant elle dans le Paris de la Belle-Epoque. J’ai apprécié cette incursion dans le passé de nos héros qui donne un vrai dynamisme au livre tout en nous permettant d’assouvir notre curiosité. Néanmoins, ce procédé exigera du lecteur une lecture attentive afin de ne pas être perdu entre les deux époques.

MA NOTE : 4/5

CONCLUSION

Pour conclure, L’Elixir oublié, deuxième tome de la trilogie Le Paris des Merveilles, est une lecture que j’ai fort appréciée. J’ai retrouvé avec plaisir le très belle plume de Pierre Pevel qui, à elle seule, justifie la lecture de cette trilogie. L’auteur a en outre gâté ses lecteurs en leur offrant tous les éléments nécessaires à une lecture passionnante : suspense, action, mystères…

J’ai maintenant hâte de vous parler du troisième et dernier tome.

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Le Paris des Merveilles Tome 1 : Les Enchantements d’Ambremer

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En vieillissant, et étrangement, je suis de plus en plus sensible aux couvertures des livres alors qu’il n’y a encore pas si longtemps, je n’y prêtais guère attention… C’est ainsi que j’ai complètement craqué sur la couverture du livre « Les Enchantement d’Ambremer », premier tome de la trilogie Le Paris des Merveilles de Pierre Pevel, sublimement réédité par les Éditions Bragelonne. Lire la suite

Challenge Objectif du mois

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Tout comme le Big Challenge Livraddict et le Challenge Livra’deux pour Pal’Addict, j’ai découvert le Challenge Objectif du mois sur le site Livraddict.

Initié par Xiouxiou, ce challenge se déroulera de juin 2016 à mai 2017 ; l’inscription restant ouverte jusqu’au 28 juin. L’objectif est de diminuer sa PAL en se fixant un objectif de lecture chaque mois.

Voici ceux imaginés par la créatrice du challenge :

Juin 2016:
Terminer une saga (de plus de 2 tomes)
Juillet 2016:
Lire un livre dans le bas de sa PAL (un livre qui prend la poussière depuis longtemps en gros)
Alternative pour les lecteurs sans PAL : Lire un livre sorti il y a plus de 5 ans
Août 2016:
Lire un livre du genre littéraire que l’on apprécie le moins
Septembre 2016:
Lire un livre sorti cette année (ça peut être une réédition d’un vieux livre ou un livre enfin sorti en poche)
Octobre 2016:
Lire un pavé, c’est-à-dire un livre de plus de 600 pages
Novembre 2016:
Lire deux livres de la même saga sur le mois (pas forcément en suivant si on est un grand lecteur!)
Décembre 2016:
Lire un livre de son auteur préféré
Janvier 2017:
Lire un livre populaire (qui a plu à tout le monde ou presque)
Février 2017:
Lire un livre pour lequel on n’a pas encore lu d’avis sur la blogosphère (très subjectif car dépend fortement des blogs que l’on suit ^^)
Mars 2017:
Lire un livre choisi par quelqu’un d’autre (je peux choisir pour vous si vous voulez ^^)
Avril 2017:
Relire un livre que l’on a apprécié
Mai 2017:
Lire un livre de notre genre littéraire favori

Il est possible de faire le challenge tous les mois ou de choisir les mois qui vous inspirent le plus ou pendant lesquels vous avez le plus de temps. Pour ma part, le mois de juin étant plutôt rempli, je pense ne commencer le challenge qu’au mois de juillet.

Et vous, envie de vous inscrire?