Premières lignes #92 : Le chapardeur des cœurs, Melinda Metz

Premi!èr-1

Le principe de ce rendez-vous initié par Ma lecturothèque est de citer, chaque semaine, les premières lignes d’un livre.


Pour cette édition, j’ai eu envie de vous présenter les premières lignes du deuxième roman mettant en scène un chat que j’adore, l’indétrônable MacGyver !

Nouvelle mission pour MacGyver, le cupidon félin ! Après avoir aidé sa maîtresse à trouver l’amour, il repère un nouveau cœur en détresse, celui de Briony,  » cat-sitter  » venue s’occuper de lui.
La jeune femme est désemparée : la veille, elle s’est enfuie en abandonnant son fiancé au pied de l’autel. Et, désormais, il lui faut gérer les escapades de l’intrépide matou.
Toujours prompt à partir en cavale, Mac a en effet pris l’habitude d’aller se promener dans une résidence pour personnes âgées dirigée par Nathan, un célibataire qui doit faire face à un problème de taille…
Quelqu’un a décidé de couler son établissement. Et si MacGyver démasquait le coupable ? Et aidait ainsi Nathan à enfin regarder Briony ?

PREMIÈRES LIGNES

Avec les dents, MacGyver attrapa la languette argentée de la fermeture éclair et la tira complètement. D’un coup de patte sûr, il ouvrit le couvercle de la valise, sauta à l’intérieur et s’allongea sur la pile de vêtements. Joli nid pour une sieste. Mais qui pouvait être amélioré. Il n’avait jamais compris cette manie qu’avaient les humains de tout aplatir. Avec un petit soupir d’exaspération, il se dressa sur ses pattes, se mit en devoir d’ébouriffer tout ça, puis se rallongea. Il sortit ses griffes et les plongea dans la douceur d’un pull moelleux. Divines sardinettes, que c’était bon !
— Mac, non ! cria Jane, son humaine.
Elle l’ôta prestement du nid qu’il s’était créé, parfait pour une petite sieste, et avec un horrible bruit de zip referma la valise. Comme s’il ne pouvait pas la rouvrir tout aussi aisément.
— Je pars pour ma lune de miel, lu-ne-de-miel. Je veux avoir l’air romantique, pas l’air d’une harpie pleine de poils de chat.
Il ignora son blabla. Il savait que les humains s’en servaient pour communiquer, pour la simple et bonne raison que leur nez n’était, somme toute, qu’une espèce de bouton inutile.

Et vous, Le chapardeur des cœurs vous tente-t-il ?

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6 réflexions sur “Premières lignes #92 : Le chapardeur des cœurs, Melinda Metz

  1. Hello Audrey !
    Je ne connaissais pas du tout cette série de livres et le héros félin portant le nom ingénieux de MacGyver, mais ce court extrait m’a mis le sourire aux lèvres et a piqué ma curiosité de lectrice 🙂

    Merci pour le partage ! Belle fin de journée, bisous !

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